Sur la place d’un village, un étranger capuchonné se tint droit, le menton levé, les yeux fermés, il semble attendre quelque chose. Le tumulte d’une parade défilante dans les ruelles fit ouvrir les yeux à cet homme.
Il baisa son menton et se dirigea vers la parade. Il vit des représentants toutes les saisons de l’année : pour l’été, un soleil en feu était représenté, l’hiver, un bonhomme de neige, l’automne, un arbre mort et enfin le printemps, une fleur. Même si cela semblait simple, tout semblait être en parfaite harmonie.
Il vit ensuite le maire de la ville dans un carrosse, des gardes du corps autour. Le maire profita de ce défilé pour saluer sa foule d’un geste de la main et d’un sourire chaleureux.
A ce moment, un sourire se fit voir sur le visage de l’individu capuchonné. Il se cacha dans un endroit qu’il avait été choisi depuis longtemps. La preuve était qu’il y avait de la nourriture éparpillé un peu partout. Ainsi qu’il lit fait avec de la paille et des morceaux de peau d’animaux morts. Cet endroit était au premier étage d’un immeuble complètement en ruine.
Il retira le lit, enleva une dalle et sortit une arme à feu. Cela semblait être un magnum, un assez gros calibre en plus. Il mit des balles à l’intérieur et se positionna en attendant l’arrivé du carrosse du maire. Il savait que le carrosse bloquerait les balles de la plus part des revolvers, mais pas du sien. Il avait tout prévu jusqu’au moindre détail.
Quand le carrosse arriva à l’angle de la rue où se trouvait l’immeuble abandonné, le tireur visa le carrosse et tira une balle dans le carrosse.
Il attendit et vit le maire sortir effrayé et caché par ses gardes du corps. Le tireur sourit et s’en alla dans une maison. Plus loin, il entra sans problème, la porte n’était pas fermée. Il attendit une heure et vit une femme rentrée. Cette femme était magnifique, sa chevelure dorée tel le soleil donnait à son visage angélique une beauté que même ces yeux d’un bleu, si magnifique que l’océan, ne put égaler, même ses formes étaient parfaitement assortit à sa visage déjà si parfait.
Lorsqu’elle vit un étranger capuchonné, elle se tut et demanda d’une voix si belle qu’on aurait dit la voix d’un ange : « Alors ? L’as-tu fait ? »
L’homme s’assit sur une chaise et répondit d’une voix sombre semblable à celle des plus grands films d’horreur : « Oui, je l’ai fait. »
La jeune femme s’approcha de lui, mis son visage près du sien et en l’embrassant.
- Enfin, nous allons pouvoir être ensemble. J’en ai temps rêvé. Dit la jeune femme avec amour.
«-Non, ce n’est pas encore fait. En fait ! Ce n’est que le début. Tant que je ne l’aurais pas arrêté. Répondit l’homme.
A suivre